Pièce jointe 107613
La lecture d'un article paru en 1995 dans la revue néerlandaise "Onze Vogels" m'a fait
connaître la mutation pastel chez le Verdier d'Europe.
Diverses mutations ont vu le jour et été élevées depuis longtemps et la mutation pastel
mérité à mon avis sa place, combinaisons inclues, dans un programme d'élevage établi par
toutes les Fédérations européennes.
Le Verdier d'Europe a été la première espèce européenne à avoir connu des stams de mutations.
Il a fallu néanmoins bien du temps pour qu'apparaisse la mutation pastel.
Les premières mutations ont été annoncées en 1969.
Feu Louis Gonnissen de Saint -Trond en a fait un rapport qui est paru sous le titre " Le verdier
nouvelles souches" (revue AOB août 1969).
Des photographies d'adultes et de jeunes Verdiers lutinos l'illustraient.
Les premiers Verdiers lutinos furent importés de Grande -Bretagne où on les élevaient déjà
depuis un certain temps.
De ceux-ci sont sortis plus tard les Verdiers bruns suivis de la mutation agate.
Le crossing-over a permis, via la couleur brune et la couleur agate, l'émergence de la combinaison
de mutations isabelle (brun-agate).
Les années passant on a connu la mutation satinée qui génétiquement a tout du lutino (ainsi
appelé erronément), mais élevé dans la combinaison avec le brun ou l'isabelle.
Les revues britanniques nous apprennent que les soi-disant oiseaux lutinos peuplaient les
cages d'élevage insulaires depuis plus de 40 ans.
On y élevait exclusivement avec la mutation lutino et avec la forme sauvage split pour lutino
en sélectionnant les oiseaux sans pigmentation digne de ce nom.
Plus tard, en Belgique et au Pays-Bas, les oiseaux (lut)inos avec une réelle pigmentation
furent élevés en les appelant "satinés" pour des raisons de prix.
La mutation satinée avait en fait déjà fait son entrée dans le monde de la canariculture.
Nous savons maintenant que la dénomination "satiné(e)" est bien la bonne pour le facteur ino
chez le Verdier d'Europe.
Ce sont les Verdiers qui ont démarré l'élevage des mutations et l'étude des lois de l'hérédité
ainsi que de la génétique en général, ces sujets sont en plein essor en aviculture.
Fin du siècle dernier, début du présent, nous avons importés des Verdiers qui venaient d'Ecosse
qui ne sont élevés que pour la posture et pas pour la couleur.
L'apport de ces oiseaux n'a pas été sans résultat car une nouvelle dimension a été donnée
à cette espèce et la domestication de cette forme de Verdier affronte un nouveau défi, celui
qui doit faire passer de la forme à la couleur.
Après bien des années d'élevage avec les mutations brune, agate, isabelle (brun-agate) et
satinée une nouvelle déviation est apparue parmi les jeunes oiseaux d'un amateur batave
de la province de Zeeland.
Le jeune oiseau en question a connu un développement normal et fut exposé à l'exposition
provinciale à Zierikzee.
Le juge Jan de Nijs très actif à ce moment au sein de la Commission technique du Club spécialisé
en oiseaux européens de culture y officiait.
Il a fait mention de l'existence de cet oiseau dans son rapport d'activité.
La Commission technique en question est arrivée à la conclusion que le facteur pastel était
bel et bien présent chez cet oiseau.
Le spécialiste entre tous qu'est Rudy Driesmans de Blankenberge ( on l'appelle d'ailleurs
"le gourou des oiseaux européens" (sic) s'avance un pas plus loin et pense qu'on a à faire
avec une combinaison de mutations agate et pastel.
Rien d'étrange à cela, le premier Tarin pastel a aussi vu le jour suite à une combinaison avec
la mutation agate.
La lecture d'un article paru en 1995 dans la revue néerlandaise "Onze Vogels" m'a fait
connaître la mutation pastel chez le Verdier d'Europe.
Diverses mutations ont vu le jour et été élevées depuis longtemps et la mutation pastel
mérité à mon avis sa place, combinaisons inclues, dans un programme d'élevage établi par
toutes les Fédérations européennes.
Le Verdier d'Europe a été la première espèce européenne à avoir connu des stams de mutations.
Il a fallu néanmoins bien du temps pour qu'apparaisse la mutation pastel.
Les premières mutations ont été annoncées en 1969.
Feu Louis Gonnissen de Saint -Trond en a fait un rapport qui est paru sous le titre " Le verdier
nouvelles souches" (revue AOB août 1969).
Des photographies d'adultes et de jeunes Verdiers lutinos l'illustraient.
Les premiers Verdiers lutinos furent importés de Grande -Bretagne où on les élevaient déjà
depuis un certain temps.
De ceux-ci sont sortis plus tard les Verdiers bruns suivis de la mutation agate.
Le crossing-over a permis, via la couleur brune et la couleur agate, l'émergence de la combinaison
de mutations isabelle (brun-agate).
Les années passant on a connu la mutation satinée qui génétiquement a tout du lutino (ainsi
appelé erronément), mais élevé dans la combinaison avec le brun ou l'isabelle.
Les revues britanniques nous apprennent que les soi-disant oiseaux lutinos peuplaient les
cages d'élevage insulaires depuis plus de 40 ans.
On y élevait exclusivement avec la mutation lutino et avec la forme sauvage split pour lutino
en sélectionnant les oiseaux sans pigmentation digne de ce nom.
Plus tard, en Belgique et au Pays-Bas, les oiseaux (lut)inos avec une réelle pigmentation
furent élevés en les appelant "satinés" pour des raisons de prix.
La mutation satinée avait en fait déjà fait son entrée dans le monde de la canariculture.
Nous savons maintenant que la dénomination "satiné(e)" est bien la bonne pour le facteur ino
chez le Verdier d'Europe.
Ce sont les Verdiers qui ont démarré l'élevage des mutations et l'étude des lois de l'hérédité
ainsi que de la génétique en général, ces sujets sont en plein essor en aviculture.
Fin du siècle dernier, début du présent, nous avons importés des Verdiers qui venaient d'Ecosse
qui ne sont élevés que pour la posture et pas pour la couleur.
L'apport de ces oiseaux n'a pas été sans résultat car une nouvelle dimension a été donnée
à cette espèce et la domestication de cette forme de Verdier affronte un nouveau défi, celui
qui doit faire passer de la forme à la couleur.
Après bien des années d'élevage avec les mutations brune, agate, isabelle (brun-agate) et
satinée une nouvelle déviation est apparue parmi les jeunes oiseaux d'un amateur batave
de la province de Zeeland.
Le jeune oiseau en question a connu un développement normal et fut exposé à l'exposition
provinciale à Zierikzee.
Le juge Jan de Nijs très actif à ce moment au sein de la Commission technique du Club spécialisé
en oiseaux européens de culture y officiait.
Il a fait mention de l'existence de cet oiseau dans son rapport d'activité.
La Commission technique en question est arrivée à la conclusion que le facteur pastel était
bel et bien présent chez cet oiseau.
Le spécialiste entre tous qu'est Rudy Driesmans de Blankenberge ( on l'appelle d'ailleurs
"le gourou des oiseaux européens" (sic) s'avance un pas plus loin et pense qu'on a à faire
avec une combinaison de mutations agate et pastel.
Rien d'étrange à cela, le premier Tarin pastel a aussi vu le jour suite à une combinaison avec
la mutation agate.